L’atelier de poterie

Il était question d’appareils de la grosseur d’un télécopieur portatif. Je n’étais pas seule d’impliquée. Avec d’autres personnes, on nous accusait de faire quelque chose que je sentais être de la fausse représentation. Ces appareils, je pense que nous voulions les vendre. Chaque appareil avait une étiquette portant le nom de l’ancien fournisseur et nous nous apprêtions à repasser ces appareils avec ces étiquettes sans y faire attention. On nous disait que ce n’était pas bien et sur chaque appareil on recherchait cette fameuse étiquette. Elle ne se retrouvait jamais à la même place, ni jamais de même forme. C’était difficile de la retrouver. Je me retrouve dans une autre pièce; c’est un atelier de poterie. Huguette, une amie qui m’a déjà enseigné la poterie, est là. Je vois des tables avec des pièces de poterie non glaçurées. Ginette Lévesque, une compagne de travail, se trouve là. Elle examine une de ses pièces et dit : «J’ai oublié de faire la poignée!» Huguette lui demande de lui montrer cette pièce et aux autres (je ne voyais personne d’autre mais elle s’adressait à un groupe complet). Elle nous dit d’aller la voir à ce sujet, que nous regarderons nos pièces avec elle pour voir s’il y a d’autres oublis. Je me retrouve dans une pièce adjacente. Quelqu’un nous assigne une armoire pour ranger nos choses (pinceaux, bols pour rincer les pinceaux). Je trouve que celle qu’on m’assigne est tellement malpropre, ses bols sont tellement sales que je n’en retiens qu’un. Le seul qui me semble réutilisable après nettoyage. Je regarde l’armoire sans réussir à me faire une raison, très déçue.