L’accident d’auto

Je suis au volant de mon auto, sur une grande artère (genre rue St-Laurent). Je traverse une intersection. Une auto identique à la mienne est arrêtée au feu rouge. Deux garçons sont à bord. Comme je traverse devant eux, ils font exprès d’avancer et endommagent ainsi mon auto (la tôle est légèrement renfoncée). Je descends de mon auto, constate les dégâts et leur dis que nous devons remplir un constat à l’amiable. Je leur explique que j’ai eu deux tentatives de vol avec vandalisme et un accident, que ma prime d’assurance va encore augmenter, que je suis tannée d’assumer les dommages causés par autrui. Ils refusent. Je leur dis que dans ce cas, nous devons appeler le 911. Ils refusent. Ils prennent la fuite… à bicyclette. Je tente de lire leurs numéros de licences de bicyclettes. Un est tout près, ça va, l’autre est plus loin. Je «sprint», réussis à le lire (sa licence est rouge), lui cris son numéro comme pour lui faire savoir que je le dénoncerai, il se retourne un instant, hésitant. Une jeune femme marche sur le trottoir. Fraîchement douchée et habillée, elle me dit avoir tout vu : elle faisait sa vaisselle chez elle et a tout vu de sa fenêtre. Je suis heureuse. J’ai un témoin. Puis nous entrons dans un grand bloc à appartements, les portes et les murs sont transparents (en vitre). On voit donc à l’intérieur des appartements. Le concierge semble connaître un des fugitifs, va dans un appartement comme pour réfléchir, analyser la situation. Je regarde les numéros d’appartements sur le tableau à l’entrée, trouve celui du fugitif, regarde à l’intérieur par la porte vitrée. Je vois une pièce avec un lit simple, une poussette d’enfant, des jouets. J’en déduis qu’il vit seul et reçoit son enfant, un petit garçon, une fin de semaine sur deux.