Poursuivies par des violeurs

J’étais chez des amis et on faisait la fête. Il y avait des gens de l’université et d’autres de l’extérieur. Je me souviens que durant cette soirée, mon président d’association étudiante attendait de moi que je sois en amour avec lui. Comme je ne lui répondais pas, je le sentais triste. L’après-party («after-hour») s’est déplacé autre part. Deux de mes amis n’en ont pas été avertis et ils étaient fâchés d’avoir été laissés de côté. Aucun souvenir de l’après-party. Cependant, je revenais de l’«after-hour» avec ma tante, ma cousine et ma meilleure amie. Nous marchions vers la maison de ma tante quand soudain, une bande de vieux messieurs «harceleurs sexuels» couraient derrière nous pour nous rattraper. Alors, nous nous sommes mises à courir. La poursuite dans la rue dura longtemps et j’ai été touchée par l’un d’eux à quelques reprises. Finalement arrivée, ma tante était incapable de débarrer la porte d’entrée. Plus les «violeurs» se rapprochaient, plus la tension montait. À la dernière seconde, ma cousine réussit à ouvrir la porte et nous sommes entrées saines et sauves. Nous tenions à savoir où tout le monde était passé. Un garçon noir dormait sur le divan. En se réveillant, il nous informa que les gens étaient partis ou qu’ils dormaient.