Désordre, film en couleur et chocolats

Un appartement composé de différentes parties de maisons que j'ai déjà habitées. Le plancher de la cuisine et de la salle à manger est jonché de tiges de feuilles d'arbres séchées et légèrement recourbées. Elles devaient être collées aux murs et aux plafonds et elles sont tombées. Il y a du désordre comme après une fête. Je suis plus jeune, je porte une robe de nuit violette, moulante, mes cheveux sont retenus à l'arrière par un bout de ruban tissé de petits motifs.

Assise devant un ordinateur, je regarde un film en couleurs. La pellicule se met à brûler. Elle ressemble à un rouleau de musique de piano mécanique et se déroule à l'horizontale en brûlant. Il y a de la fumée que je ne sens pas. J'ai une boîte de chocolats sur les genoux. La boîte a la forme d'une livre de beurre. Les chocolats sont de formes ovales et fourrés. Je me goinfre. Je n'en offre pas. J'aime le goût et la texture du chocolat sur mes dents et ma langue. C'est très bon. Il y a des jeunes gens dans une pièce. Ils portent de longues robes blanches à la marocaine. Je leur commande du café en appelant dans un restaurant. On m'a oubliée. J'essaie d'en faire avec une petite casserole très vieille. J'en échappe partout. Je ne sais pas le faire. L'écran de l'ordinateur est rendu dans le four du haut à la verticale.