Mort soudaine d’une vieille contrariée

Je me retrouve près d’une cabane ou un chalet. Devant un confessional ou plutôt comme si j’étais à l’intérieur. Gros plans cinématographiques des visages. Ça ressemble d’ailleurs à un film de Fernandel. Le curé confesse une petite vieille tout en noir, châle sur la tête. Elle n’en finit plus. Je n’entends pas ce qu’elle dit. Il essaie de l’interrompre puis, d’un geste impatient, se tourne de l’autre côté pour confesser une autre femme plus jeune, d’environ 40 ou 50 ans. Celle-ci je ne la vois pas. La vieille réalise ce qui se passe. Elle sort de sa «cabine» et engueule le curé. Il doit retourner à la vieille. Mais la vieille est morte. Raide comme du fer, dans une position ridicule (c’est un rêve très drôle). Il y a un transistor près du confesseur qui joue quelque chose de rapide. On donne un coup dessus et la musique change pour plus lent, comme au ralenti, déformée.