Marian Engel
Bear Genre de texte Contexte Notes Texte original Édition originale
Roman
Ce rêve survient à la dernière page du récit, alors que Lou quitte l’île et qu’un Indien est venu chercher l’ours pour s’en occuper. Le rêve marque la fin d’une période de la vie de Lou et indique une acceptation de ce qu’elle a vécu cet été-là avec l’ours.
La «griffe qui a guéri sa culpabilité» renvoie au coup de griffe que lui avait donné l’ours et qui lui avait lacéré le dos, alors qu’elle tentait de l’étreindre.
Bear, Toronto, McClelland and Stewart, 1976, p. 140. Notre traduction.
Des lettres d’excuse
Elle se souvenait du sentiment de culpabilité et d’un rêve qu’elle avait eu dans lequel sa mère lui avait fait écrire des lettres d’excuse aux Indiens pour avoir eu affaire avec un ours, et elle se souvenait de la griffe qui avait guéri sa culpabilité. Elle se sentait forte et pure.